Nicolas Ferenczi

Biographie

Au sein d’un chœur d’enfant, Nicolas Ferenczi connaît ses premiers émois artistiques et l’appel de la scène. C’est ainsi qu’au lycée, il joue et chante dans La vie parisienne d’Offenbach. Mais ce trop bon élève fait de brillantes études et devient ingénieur agronome. Un métier dans lequel il excelle sans pour autant renier ses nombreuses passions… Il aime la voile, il vogue sur les mers ; cinéphile incollable ou presque, il accumule des mètres de DVD et hante les cinémathèques. La musique le transcende, il s’y adonne. Les planches le brûlent, on le suit dans Harold et Maude de Colin Higgins, Le dîner de cons de Francis Véber, Les Copines de Pierre Chesnot, Théâtre sans animaux de Jean-Michel Ribes.  Depuis 2008, avec la Compagnie Gaz à tous les étages il joue, il chante dans Diplodocus de Jeanne Michaux, Hortense a dit je m’en fous de Georges Feydeau, La Poupée de Jacques Audiberti, On dira des bêtises d’Eugène Labiche.

Depuis 2015, il interprète de nombreux personnages successivement dans Courteline ça déménage ; Humour noir et autres couleurs, pièces courtes, de Guy Foissy ; De Ribes en rires, pièces courtes de Jean-Michel Ribes ; Allegretto, pièces drôles et drôles de pièces de Jean-Paul Alègre. En 2019, il joue plusieurs personnages dans Place de l’horloge de Gérard Levoyer.
En 2021, il participe à « Humour et jazz à tous les étages » qui réunit comédiens, comédiennes, chanteuse et musiciens, un spectacle « spécial Covid » qui respecte les gestes barrières.

Fin 2023, il joue avec la compagnie « Le monde est un théâtre » (partenaire de Gaz à tous les étages), dans la célèbre pièce de Florian Zeller Le père. Dans notre spectacle « Pièce drôle et drôle de pièce » dédié à Jean Anouilh, il interprète un commissaire du peuple et différents personnages dans la
comédie La belle vie. Puis il joue un contrôleur de l’état suspicieux dans la comédie vaudevillesque Episode de la vie d’un auteur.